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Major-général Joseph Kabila, un délinquent sexuel?

02 décembre 2005 - Le président de la République, le Général-Major Joseph Kabila, aurait abusé sexuellement de Mlle Jeannette Abidje Ngaba, orpheline de père et de mère, en 1997, et de cette "union sucrée" serait née, une jolie fillette répondant au nom de Amina ou "Minaa", que le chef de l'Etat ne veut pas reconnaître. Pour étouffer cette affaire, Kabila met en marche la machine répressive de la "monarchie" pour littéralement broyer Mlle Abidje. C'est ce que révèlent les communiqués de presse de Détectives-Experts pour les droits au quotidien (dedq) et Convergence Congolaise contre l'Impunité (voir bas de la page), qu'un vent favorable a amenés à notre rédaction. Pour la petite histoire, Jeannette a vécu successivement au Nord-Kivu et Sud-Kivu, jusqu'en juillet 2005, période de son arrivée à Kinshasa, ou elle se rendra le 19 juillet 2005 pour contacter le président, en vue de l'informer qu'elle a mise au monde à la suite de leurs relations sexuelles lors de son séjour à Bukavu en 1997. Elle était accompagnée de sa fillette et de l'une de ses cousines qui connaît bien Kinshasa. Le service de protocole les conduiront auprès de l'ambassadeur Mugalu, chef de la maison civile du chef de l'Etat, dont les bureaux se trouve à la cité de l'Union Africaine, au Camps Tshatshi. Il s'en est suivi un long interrogatoire sur les relations qu'elle aurait eu avec Joseph Kabila, l'actuel chef de l'Etat, qui était encore, au moment des faits, commandant de l'Afdl, et les circonstances de leur premier contact.

Après audition, l'ambassadeur Mugalu, qui était déjà au courant de cette affaire, comme indiqué dans les paragraphes suivants, a conclu, que les faits relatés étaient "faux, sans fondement et portaient atteinte à l'honneur du chef de l'Etat". Jeannette a été menacé, traitée d'infiltrée, à la solde des forces étrangères, notamment, rwandaises qui voudraient attenter à la vie du chef de l'Etat. Il a été signifié à Mlle Jeannette qu'elle, sa fillette et sa cousine étaient en État d'arrestation. Cette même nuit-là, vers zéro heure, elles seront transférées à l'ex-Cns (Conseil national de sécurité), pour quelques heures, avant d'être acheminées à la villa de du Colonel Munkutu, ancien président de l'ex-Cour d'ordre militaire, de triste mémoire. Le Colonel Munkutu est actuellement collaborateur du conseiller spécial du chef de l'Etat, en matière de sécurité, le professeur Samba Kaputo, dont l'une des résidences, située dans les parages de l'Hôtel Diplomates a été utilisée comme cachot. Pendant leur détention dans des cachots pirates, Jeannette et consorts étaient auditionnées par un certain Yemba Pendalenga, qui serait un Opj à compétence général travaillant avec le Colonel Munkutu. Ce n'est que le 18 août 2005, que Jeannette et consorts seront transférées au cachot du Parquet général près la Cour de sûreté de l'Etat (un autre instrument de répression politique hérité de l'époque de Mobutu), avant d'être conduites au pavillon 9 du Centre pénitentiaire et de rééducation de Kinshasa (Cprk).

Dans cette même affaire existe une autre victime, en la personne de Gabriel Mbuyi. Ce dernier a commis le péché, aussitôt arrivé à Kinshasa en mai 2005, de s'être présenté au bureau de la maison civile du chef de l'Etat pour dire qu'il avait informé M. Mugalu par téléphone de l'existence de Mlle Jeannette Abidje, mère d'une fillette âgée de plus ou moins 8 ans, qui prétend que le père de la fillette est l'actuel chef de l'Etat. Cela, lui a valu un enlèvement et détention dans plusieurs cachots pirates du 22 mais au 2 août 2005, à savoir, Palais de marbre, direction de l'Anr (Agence nationale de renseignement), sur l'avenue des couteaux, à la Gombe, à l'Anr Intérieur, à la Demiap (Détection militaire des actions anti-patrie), avant d'être transféré, le 2 août 2005. au pavillon 11 du Cprk, suivant un mandat signé par le Conseiller juridique Kilombozi de la Demiap, qui le poursuit pour "offense envers le chef de l'Etat", sous le Rmp 2209/klz/05. Curieusement, le dossier Rmp 2209/klz/05 qu'instruit Kilombozi n'a pas été transféré à la Cse pour être joint au Rmp 2499.

Dans cette affaire, Kabila est représenté par le Ministère publique et la partie civile (juge Mbo Lumpungu, Kaninda et Bokambany) et le témoin sieur Kalume. Ce dernier, aurait des preuves que Jeannette couchait avec Joseph Rubibi, qui serait, selon lui, le père biologique de Minaa, et non Joseph Kabila. Détectives-experts pour les droits au quotidien (Dedq) et Convergence Congolaise contre l'Impunité (Coci) craignent une justice expéditive et dénoncent la violation de la loi, les intimidations, les pressions et le climat suspicieux dans lequel se déroule l’affaire sous Rmp 2499, mettant en cause M. Joseph Kabila contre Mlle Jeannette Abidje devant la Cour de sûreté de l’Etat. Dedq recommande le recours au test d'Adn pour déterminer le véritable géniteur de Amina, entre Joseph Rubibi et Joseph Kabila que Jeannette présente comme le père. Dedq et Coci crient au scandale quant à la disproportion des moyens déployés dans cette affaire, entre d’un côté, une femme seule et sans ressource, et de l’autre un homme tout puissant, président de la république, avec à sa disposition, tous les moyens de répression d'un régime dictatorial, et "l’entière dévouement d’une justice instrumentaliée".

Mlle Abidje, à en croire le communiqué de la Coci daté du 28 novembre 2005, non seulement elle est actuellement malade, mais aussi subit des intimidations de la part "du directeur de la prison du CPRK qui la soumet à un régime carcéral strict, avec notamment privation de la moindre visite y compris de ses avocats ou d’un médecin. Au jour d’aujourd’hui, la demande de mise en liberté présenté par les avocats de madame Abidje a été rejeté par la cour, tandis que le huis clos a été décrété pour le déroulement des audiences, qui ont lieu dans un climat dénué de la moindre sérénité, les débats étant perturbés par les nombreux coups de fil destinés au président de la composition, pour injonctions". La Coci exige que le président Joseph Kabila ou toute personne de son entourage à l’initiative de la plainte, puisse se désister de l’action pendante devant la cour de sûreté de l’Etat, "laquelle action n’a pas lieu d’être, car s’agissant d’un simple litige d’ordre privé. Que le président Kabila accepte tout simplement de se soumettre à un test Adn, réalisé par un laboratoire spécialisé et indépendant et dont les résultats pourront faire l’objet d’une contre-expertise. A défaut, aux membres de la composition, notamment le président de la chambre le Juge Mbo Lumpungu, de se déporter, ou alors, d’ordonner immédiatement, la libération de madame Jeannette Abije. Ou encore, de soulever la question préjudicielle, et par conséquent de surseoir à statuer, et de renvoyer toutes les parties devant le tribunal civil compétent, à savoir le tribunal de paix de la Gombe à même trancher d’un litige entre parties portant sur une action en recherche de paternité".

La Rédaction de Congolité se joint aux Ong Détectives-experts pour les droits au quotidien (Dedq) et Convergence Congolaise contre l'Impunité (Coci) pour demander aux gens de bonnes volonté d'élever la voix pour sauver la vie de Mlle Abidje et sa fille, de sa cousine et de Gabriel Mbuyi, avant qu'il ne soit trop tard. Le temps presse, tout peut leur arriver.

Emmanuel Katshunga

 

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Revised: December 03, 2005 .

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